Au clair de lune...
Ding et Dong, attachés l’un à l’autre, sont à l’abri sous un auvent à O’Higgings. La pluie a cessé, la nuit est claire.
Ding - Tu te reposes, mon ami Dong ?
Dong - Oui, j’ai un coup de pompe, je suis complètement crevé. Et toi ?
Ding - Moi aussi, je me sens raplapla, j’aurais besoin de quelques coups de brosse pour enlever toute cette poussière qui me fait éternuer.
Dong - Ne me parle pas de cette poussière. Quel cauchemar, elle colle à ma chaîne qui grince.
Ding - J’ai la cassette enrouée et mes patins ont chauffé dans les descentes. Tu sais que je n’aime pas les dévers, je me sens glisser et j’ai peur de déraper.
Dong - Allez, nous sommes arrivés au bout de la Carretera, nos pneus ont perdu de la gomme, ma chambre à air est rapiéciée, mais nous sommes sains et saufs.
Ding - C’est vrai, mais j’en avais assez de jouer à saute-moutons sur ce ripio infernal.
Dong - Nous avons supporté vaillamment tous ces chaos.
Ding - Heureusement, nous sommes tous les soirs enlacés avec la selle au sec.
Ding - Tu as raison. Ce fut une dure épreuve, mais c’était tellement beau que notre cadre ne l’oubliera jamais!
Alors vous êtes fin prêts pour Paris Roubaix !
RépondreSupprimerHihi, vous me faites bien rire ! Sacré Dong et Dong !
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