De Puerto Natales à Punta Arenas, 263 km qui se sont partagés au gré du vent.
Les carabineros se montrent attentifs aux besoins des cyclistes, indiquent les lieux de bivouacs et offrent de l'eau chaude pour le thé. Il y a des postes de carabineros au milieu de nulle part et leur accueil est un réconfort.
Le second soir, nous partagerons un grand "parada" ( abri pour attendre le bus) avec deux cyclistes argentins. Ils venaient du Sud, nous arrivions du nord et nous étions tous exténués après 50 km à lutter contre le vent glacial.
Comment expliquer ce paradoxe sur la direction du vent dont nous avons tous souffert ?
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